De Claude POIGET à nos jours, dix-sept générations se sont succédé. Près de 1100 personnes, hommes et femmes ont porté ou portent le nom. Des règles protègent le nom de famille dans la législation française, quant à son usage et quant à sa transmission.
Que l'enfant soit légitime, naturel ou adopté, il porte le nom du père de famille par présomption de paternité, ou celui de la mère lorsque le père est inconnu (quelque cas dans la généalogie).
La règle de transmission du nom par les mâles en France est différente de celle appliquée en Espagne ou en Allemagne. Elle s'explique par la forte influence du droit Romain, par l'autorité du père renforcé sur la famille depuis le Moyen-Age, et le doute toujours possible d'une paternité.
En effet si le désaveu de maternité (sic) est difficile, sauf cas de substitution d'enfant (les reines de France accouchaient en public), la paternité peut être remise en question...
Par Philippe Poiget